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Aidan Jefferson Miller
Yeah, j'suis libre

feat.James McaVoy

Qui suis-je? lieu de naissance; Manchester âge ; 23 ans statut ; Célibataire hétéro en quête de l'amour parfait groupe ; Villageois caractère ; Romantique, rêveur, posé, calme, charismatique, naïf. C'est l'histoire de ma vie ; Né en Angleterre, il eut une enfance tranquille dans une famille des plus agréables et souhaitable pour un enfant. Il fut aimé, et n'eut vraiment pas de problèmes. Ce n'était pas vraiment un bon élève mais il avait des résultats corrects et se laissait bercer par la vie qui était pour lui comme un long fleuve tranquille. Niveau entourage, il s'introduisait sans aucun problème dans des bandes d'amis joyeux et énergique. Mais ce ne fut qu'à son adolescence qu'il avait enfin compris que des filles s'intéressaient à sa personne pas seulement pour une relation amical. Mais à chaque fois qu'il flirtait avec une, une autre lui paraissait soudainement mieux, puis quand il pris enfin la décision de sortir avec celle-ci, elle lui parait banal et sans aucun intérêt. Alors malgré lui, il fut un Don Juan. C'est à cette époque aussi qu'il sortait la nuit, avec ou même sans l'autorisation de sa famille. Il allait vagabonder avec une fille sous la bras, ou avec une bande de copain, ou même tout seul quand il le voulait. D'ailleurs, il en avait assez de ces amours qui ne duraient guère de temps, il faisait souffrir et il en souffrait. Il avait fait dégringoler ses notes et s'entendait mal avec ses parents, il en avait plus qu'assez. Puis du jour au lendemain, il se reprit en main et restait seul, dans son coin. Comme il ne faisait plus rien de fantastique et qu'il se cachait presque, plus de fille ne venait lui voir, les bons rires entre amis n'étaient plus que des "Bonjour". Mais ainsi, il connut une histoire d'amour sincère, une jeune fille timide, qui le voyant seul, le rejoignit peu à peu dans sa solitude. Quelle belle histoire... Lui, se plaisait avec qu'elle, personne cultivée qui lui apprenait des choses nouvelles... Mais bon, cela ne dure jamais toute une vie et elle avait décidé d'étudier au Etats-Unis la philosophie. Tout triste de cela, il décida peu à peu lui aussi d'aller en France pour ses études. Vite fait, il décida d'apprendre les lettres, ne savant que faire de sa vie. Il se renda donc à la capitale, dans un appartement médiocre, ne comprenant à peine cette langue, souffrant d'entendre autant de klaxon et de sentir le pot d'échappement à chaque coin de rue. Il décida alors de comprendre le Français et de travailler. Bizarrement, il ne faisait pas de rencontres. Aucun ami, aucune amie, voire plus si affinités. Se décidant de se bouger un peu, il alla à la rencontre des monument parisien réputés. Il demandait aux passants des renseignements avec son accent anglais, et les gens croyant avoir un touriste anglais lui racontait l'histoire en un anglais approximatif de la constructif de blablaba en blablabla parce que blablabla. Allant de monuments à monuments, il demanda un renseignement à jeune fille approximativement de son âge. Elle ne lui répondit pas au début, et ne lâcha juste un "... Je ne sais pas." Intrigué par sa réponse sec, il tenta de forcer la main et elle soupira. Il savait qu'il énervait cette brune aux vêtement chics et chocs. Vers la fin, il tendit sa main, disant son nom et elle répondit en serrant la sienne "Gwenaël Jeffroy". Bizarrement, ils furent ensemble à vivre dans l’appartement spacieux de la jeune femme. Ils étaient ensemble mais ils gardaient une certaine distance, elle travaillait toujours à des choses que lui ne comprit pas, lui rêvassant un son futur. Il avait devinait peu à peu le caractère de la brune mais n'avait toujours pas vraiment saisie son envie d'ambition. Il la trouvait belle, intelligente, magnifique quand elle souriait (les peu de fois..). Il rêvait d'un avenir avec elle.. Peut-être qu'un enfant l'attendrirait.. Mais bon, voilà le drame, au jour, elle pleura de joie, il lui demandait pourquoi (peut-être avait eu elle vent qu'il allait lui demander en fiancée?) elle lui répondit qu'elle avait obtenu l'emploie enfin qu'elle souhaitait. Ayant tout orchestré à l'avance, elle déclarait qu'elle savait qu'il ne voulait que son bonheur et qu'elle devait s'approcher de son travail et que le seule appartement trouvé ne serait pas assez grand pour eux deux, donc vous devinez la suite. Il fut choqué (il pouvait l'être) et dévasté (deux ans quand même ensemble, enfin, si ensemble convient comme mot). Il retourna à un appartement médiocre et sans confort et pensa même à renter en Angleterre tellement il était déçu. Finalement, il ne s’investit que dans ses résultats, trouva un travail de bibliothécaire, put prendre un appartement avec un peu plus d'espace et fit des rencontres. Mais malheureusement, ses histoires ne duraient mieux de six mois... C'était presque à chaque lui qui les quittait, les trouvant trop bêtes, pas assez cultivés, trop nocturnes, trop si, trop ça et patati et patata. Bref, jamais à son goût. Il se demanda même pendant cette période comment il avait put resté autant de temps avec Gwenaël (est-ce qu'elle l'avait aimé?). Il avait une vie à peu près stable sauf en amour alors qu'il plaisait aux femmes.. Peut-être m'était-il la barre un peu trop haut? Un jour il se réveilla, tient bizarre comme lit, je ne souviens pas d'avoir ce matelas ni ce cadre, ni ses murs, ni de ses caméras que j'aperçois de la fenêtre.. Il avait été étrangement introduit dans ce village qu'il apprit peu de temps appris qu'il s'intitulait "Enclosed Village". ...Il était enfermé dans ce village?! Il réfléchit longuement et se dit que finalement, ce n'était pas si terrible... Bon d'accord, les caméras et le Gossip Mag pour l'intimité c'est moyens mais vivre à l'intérieur comme à l'extérieur... Il s’accommodera en attendant de partir d'ici (car bien sûr que ce psychopathe de Maire ne va guère longtemps faire durer son jeu). Il ne savait pas encore qui étaient les personnes enfermés avec lui...

Humm, tu es qui toi?

	Gwenaël Jeffroy Emmy Rossum Dire que toutes ses espérances se révélaient être réduit dans un néant le plus total... Il avait rêvé d'un avenir avec elle, avec des enfants, une belle maison, un chien qui s'appellerait au fonction de la lettre de l'année.. En fait, il ne savait pas mais Gwen ne l'avait considéré que comme un meuble de son appartement. Elle l'avait peut-être aimée au début mais s'en était très vite lassé mais puisqu'il était là.. silencieux, reposant, calme... pourquoi le quittait? Mais trop romantique, il n'avait rien compris de cela et c'était fait lâchement quitté. Et depuis? Il n'est ni vraiment en colère, ne l'a pas oublié, ni l'aime encore et toujours mais il considère cela comme une grosse faute qu'il aurait pu échappé.
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